Les serviettes hygiéniques : la solution classique
On a découvert que dans les serviettes hygiéniques notamment, il y avait des traces de glyphosate, de dioxine et autres pesticides. Évidemment cette découverte peut être effrayante surtout quand elle touche à des produits destinés à l’intimité de la femme. Même si la présence de ces produits est faible, certaines substances étant soupçonnées d’appartenir à la famille des perturbateurs endocriniens, cela a de quoi effrayer.
Les serviettes hygiéniques bio sont alors devenues une alternative crédible. Elles s’utilisent de la même manière que les serviettes classiques. Elles présentent une composition naturelle à base de coton bio. Avec la gamme Jho, vous profitez d’une offre très complète et de différentes possibilités en fonction de votre flux, avec l’option jour ou nuit.
Ce type de serviettes reste confortable et invisible, vous ne sacrifiez rien au côté pratique, tout en faisant attention à votre santé. Celle-ci est de plus rassurante par rapport aux tampons qui rebutent certaines femmes.
Le tampon bio : une bonne alternative
Vous ne changez rien à vos habitudes, mais vous utilisez un tampon 100 % naturel, sans parfum, non blanchi au chlore, sans fibres, risquant de se détacher et sans OGM. Ils sont particulièrement recommandés d’ailleurs pour celles qui souffrent de mycoses à répétition. Ils permettent de rééquilibrer la flore vaginale. Seul bémol : son prix qui peut parfois être deux fois plus élevé que celui des tampons classiques. Il faut également faire attention et s’appuyer sur une marque sérieuse.
Les culottes menstruelles
Elles sont conçues en coton biologique, sont doublées et le fond est composé de plusieurs couches de différents tissus qui sont superposées. La protection est ainsi efficace, saine et agréable. La couche qui est en contact avec la peau étant 100 % naturelle, elle limite les risques d’allergie et d’irritation.
Grâce aux différentes tailles de culottes menstruelles proposées, chaque femme trouve facilement celle qui sera confortable et facile à porter.
Les coupes menstruelles : une solution innovante
Parmi les produits d’hygiène féminine, la coupe menstruelle tend à se développer. Celle-ci présente de nombreux atouts et celles qui ont essayé l’ont généralement adoptée. Voici quelques éléments pour vous convaincre (ou pas) :
Elle se présente sous la forme d’une coupe en silicone à placer à l’entrée du vagin. Elle n’absorbe pas vos règles, mais elle les reçoit. Souple, elle reste discrète et n’occasionne aucune gêne ou irritation. Elle est pratique.
Elle est écologique et économique puisqu’elle peut être réutilisée de nombreuses fois. Sa durée de vie est en effet estimée à 10 ans. Elle limite de ce fait son impact sur l’environnement et ne génère aucun déchet. Elle peut être lavée et même stérilisée.
Il faut cependant trouver la bonne taille et apprendre à bien la positionner pour éviter tout risque de fuite inopinée. Il reste également des incertitudes quant au temps durant lequel le sang est présent et les risques éventuels d’infection liés.
Elle n’assèche pas la flore vaginale puisqu’elle est fabriquée en silicone médical. Elle ne contient pas de substances toxiques, potentiellement allergènes ou cancérigènes. Elle est donc plutôt rassurante.
Pourquoi ne pas céder à la tentation des protections classiques ?
Depuis les années 60, les grandes surfaces commercialisent des produits de protection jetables, à commencer par les serviettes hygiéniques. Malgré leur nécessité évidente, leur composition reste une source d’inquiétude, d’autant que la transparence n’est pas toujours de mise.
Les protections féminines sont en effet composées de matériaux synthétiques ce qui permet d’ailleurs d’obtenir ce niveau d’absorption assez remarquable. Entre plastique, poudres chimiques, cellulose et chlore, la toxicité peut véritablement être un problème, d’autant que les particules peuvent facilement pénétrer dans les muqueuses. De plus, on trouve également de l’alcool, de l’aluminium ou du parfum qui sont des produits irritants.
Elles ont de plus un impact sur l’environnement qui est assez fort puisqu’une femme utilise environ entre 10 000 et 15 000 produits menstruels au cours de sa vie. C’est plus de 45 milliards de protections qui sont jetées dans le monde, chaque année.
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