Ne pas culpabiliser
Dans la vie, on ne contrôle pas grand-chose. La conception d’un enfant n’est pas uniquement soumise à la volonté de ses géniteurs. Vous n’avez donc aucune culpabilité à ressentir puisque ce n’est pas vous qui décidez ou non de rester enceinte. Cela viendra quand la vie l’aura décidé. Alors, même si cela est difficile pour vous, répétez-vous chaque jour que ce n’est pas votre faute, ni de celle de votre partenaire.
Prendre du temps pour soi
Aujourd’hui, vous vous angoissez à l’idée de ne jamais avoir d’enfant. Pourtant, ce moment arrivera très probablement un jour et vous n’aurez plus une seconde pour vous ! Alors, mettez vos pensées négatives de côté et profitez-en pour savourer des instants de détente en solo. Spa, hammam, sauna, massage, yoga, coiffeur, esthéticienne, pensez à vous !
Ne pas jalouser les futures ou jeunes mamans
Votre tour viendra, patience ! Cela ne sert à rien de jalouser les femmes enceintes ou les jeunes mamans. Leur bonheur ne s’est pas construit au détriment du vôtre. La vie est ainsi faite, vous n’y pouvez rien et elles n’ont plus.
Et puis, si cela peut vous aider à vous détendre, dites-vous qu’elles aussi ont leurs lots de tracas. Vous vous rendrez compte assez rapidement que les hémorroïdes, les remontées gastriques, les vergetures et la chute des cheveux ne sont pas aussi sympathiques que ça en a l’air.
Identifier et accepter ce que vous pouvez contrôler ou non
Dans votre projet de bébé, la seule chose que vous pouvez contrôler, c’est vous ! Vous êtes maîtresse de vos émotions, de votre stress, de la fréquence de vos rapports sexuels et c’est tout ! Le reste ne dépend pas de vous alors arrêtez de chercher à le contrôler (ce fameux lâcher prise !). Manger ce que vous voulez et faites l’amour quand vous voulez. Vivez comme vous le faisiez avant de chercher à avoir un enfant.
Faire confiance à la vie
Faites confiance en la vie et gardez la foi sur ce qu’elle vous réserve. Vous projeter dans des scénarios négatifs ne fait qu'alimenter votre anxiété et vous culpabiliser. Votre tour viendra, soyez-en sûre !
Se concentrer sur le positif
Concentrez-vous sur ce qui va bien dans votre vie. Focalisez-vous sur votre vie professionnelle si elle est source de satisfaction pour vous, par exemple. Prenez soin de votre couple, profitez-en pour voyager. Laissez de côté le négatif. Si cela est trop difficile pour vous, tournez-vous vers la méditation pour vous aider à vider votre tête.
Faire l’amour sans être fixée sur le calendrier
Faites l’amour spontanément. Ne cherchez pas à contrôler les dates de votre cycle menstruel pour déterminer votre phase d’ovulation. Cela vous met encore plus la pression. Vous n’avez pas envie de raconter à votre futur enfant que sa conception a été planifiée et chronométrée à la minute prêt.
Voyager
Le voyage permet de sortir de son quotidien et il représente un excellent moyen pour lâcher-prise. N’hésitez donc pas à planifier un séjour dans un endroit que vous avez envie de visiter, pour vous détendre. Vous en profiterez certainement pour faire l’amour et peut-être qu’une surprise vous attendra à votre retour.
S’offrir un porte-bonheur
Acheter vous un grigri pour vous aider à garder la foi dans la vie et à vous convaincre que vous allez y arriver. Évitez de choisir un objet en lien avec la maternité. Sélectionnez un porte-bonheur qui vous évoque quelque chose. Si vous êtes à court d’idée, pensez aux pierres précieuses et à la lithothérapie. Offrez-vous un joli bracelet en quartz rose, par exemple.
Ne pas rester seule
Évitez de vous isoler et continuez de sortir avec vos amis. Si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un psychothérapeute pour avoir du soutien. Plus vous resterez seule et plus vous aurez tendance à ruminer et à vous stresser. Profitez de la vie comme vous le faisiez avant que ce projet ne germe dans votre tête.
En bref, pour lâcher-prise pendant les essais de conception d’un enfant, il faut bien comprendre que cela ne se contrôle pas. Avoir une alimentation stricte ou faire l’amour à des dates bien précises ne contribueront qu’à accroître la pression que vous vous mettez déjà. Si vous n’êtes pas concernée par une potentielle FIV, continuez de vivre normalement et faites-vous surprendre par la vie.
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